57 avenue de Villiers - 75017 Paris
Tél. : 01 45 62 85 00
Le cabinet du Dr Kron est désormais équipé de l'outil de diagnostique du photovieillissement du visage Skinscope LED proposé par le laboratoire SkinCeuticals.
Depuis le 31 juillet 2017, le Dr Kron et son équipe vous accueillent dans un nouvel espace de 250m2 dédié à la prise en charge globale du visage, du corps et la peau. La nouvelle adresse est le 57 avenue de Villiers, Paris 17e.
Le Dr Kron pratique désormais la pose d’implants earFold. Cette technique chirurgicale innovante corrige définitivement les malformations du cartilage des oreilles et tout particulièrement les oreilles décollées.
Les implants earFold corrigent ou accentuent la plicature de l’anthélix, la cause la plus courante des cas de proéminence des oreilles.
Le cabinet du Dr Cédric Kron est désormais équipé de nouveaux applicateurs pour le dispositif de Cryolipolyse Coolsculpting du laboratoire Zeltiq.
Utilisant la même technologie de coupe 3D que CoolMini, les applicateurs CoolAdvantage permettent une diffusion du froid homogène sur toute la surface du dispositif en contact en la peau.
Le Cabinet du Dr Cédric Kron est désormais équipé d’un laser de la toute dernière génération pour les traitements médico-esthétiques.
Icon TM est un dispositif proposant de nombreuses pièces à main qui permet de traiter de multiples indications médico-esthétiques, que ce soit au niveau du visage ou du reste du corps.
Le Docteur Kron est tout à fait d’accord avec les 2 médecins répondant à la question "Pour ou contre la cryolipolyse ?" dans le magazine "Votre Beauté".
> Consulter l'article "Silhouette : Pour ou contre la cryolipolyse ?"
Le Dr Kron est désormais équipé de « CoolMini », une pièce à main destinée au dispositif de cryolipolyse Coolsculpting du laboratoire Zeltiq.
Avec CoolMini, il est possible d’utiliser la technique de suppression définitive des graisses sur des petites zones du corps. La taille, la forme et la courbe de CoolMini sont particulièrement appropriées au traitement de zones comme le cou et le menton.
Profondément soucieux de la santé de leurs patientes, les chirurgiens plasticiens français se préoccupent depuis janvier 2011 du problème du lymphome anaplasique à grandes cellules (LAGC) à la suite de l’information qui avait été diffusée par la Food and Drug Administration américaine (FDA).
Les chirurgiens plasticiens français travaillent en effet en étroite collaboration avec leurs instances de tutelle (DGS, ANSM, InCA) et avec les sociétés scientifiques internationales (ASAPS).
Si le sujet est préoccupant, il faut toutefois garder le sens de la mesure et ne pas inquiéter inutilement la population. La fréquence du LAGC est si faible que le risque est encore très difficile à quantifier. Pour la même raison, il n’est pas possible d’identifier précisément les facteurs de risque associés à cette pathologie. En particulier, l’importance de la texturation de surface des implants, et le terrain génétique, dont les rôles possibles ont été incriminés, nécessitent encore des études complémentaires.
Il faut rappeler que les implants mammaires préremplis de gel de silicone sont utilisés depuis 1962 dans le monde. Accusés d’augmenter la fréquence des maladies auto-immunes, ils avaient été interdits en France du 28 janvier 1992 au 16 janvier 2001. Aucune étude épidémiologique à l’échelle mondiale n’avait pourtant permis de les incriminer. Il serait regrettable de reproduire aujourd’hui une semblable erreur sous l’emprise de l’émotion.
Tant en chirurgie reconstructrice qu’esthétique, les bénéfices apportés aux patientes par les implants mammaires sont en effet actuellement infiniment supérieurs au risque de LAGC. Ce risque est si faible qu’il ne justifie aucune explantation préventive, quel que soit le type et l’âge de l’implant. Aussi exceptionnel soit-il, ce risque fait dorénavant partie de l’information systématique des personnes candidates à une implantation mammaire, et tous les chirurgiens plasticiens français en connaissent la procédure de dépistage.
Ils profitent de cette occasion pour rappeler que toutes les femmes porteuses d’implants mammaires doivent être systématiquement et réguliérement surveillées. En l’absence d’anomalies cliniques ou radiologiques, il est toutefois inutile de modifier la fréquence et les modalités d’une surveillance annuelle.
Directoire Professionnel des Plasticiens, 17 mars 2015
www.plasticiens.fr
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Le Dr Rachel Pessis et le Dr Cedric Kron, Chirurgiens spécialistes en Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique vous informent :
Dans le cadre du dispositif mis en place par les autorités pour venir en aide aux victimes et à leurs proches, la Direction générale de la santé souhaite vous rappeler les numéros de téléphone disponibles qui pourront vous être utile.
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